500 diables est à la base une auberge qui se situe au parc Naturel Régional des Volcans d’Auvergne de 45 minutes de Clermont Ferrand. Avec cette situation géographique idéale, cetteauberge offre des produits et dit service d’hébergement (écologique), de gastronomie, de séminaire et d’événement.
Selon ses propre mots, l’auberge 500 diables se positionne comme « un lieu reculé, loin de toute civilisation, […] un lieu conjuguant tranquillité, convivialité et communion avec la nature ». Avec ce positionnement, elle est exploitée en rythmant par les saisons entre neiger et verdure, dans un décor montagnard unique.
D’après les vidéos et les photos proposés en ligne, nous pouvons remarquer que le site est aménagé, intérieur comme extérieur, par une approche expérientielle, en thématisant montagnard. Le groupe d’exploitation essaye aussi de mettre en place et de mettre en scène les produits locaux et les éléments traditionnels.
Or, nous soulignons également que ces « expériences » proposées sont superficiellement présentées :
Tout d’abord, elles sont isolées des uns avec les autres, par exemple, les logements sont bien modernisés (comme ce que la gérante a présenté dans leur vidéo)，or le restaurant est très traditionnel. Tellement, ce problème pose une rupture incohérente d’expérience entière. L’image d’Eco-Lodge et de paysan que la gérante a expliqué ne correspond pas vraiment la modélisation de site ainsi que leur positionnement de site.
Ensuite, ses produits et ses services manquent le lien avec le territoire et le marquage culturel local, en terme du parc, de la station de ski et aussi de la proximité de ville Clermont-Ferrand. C’est pourquoi nous trouvons que ce site est un peu banalisé comme un prestataire montagnard en France, en particulier ses offres d’hébergement et de séminaire.
En fin, l’auberge ressemble également isolée en termes de l’exploitation : la majorité de ses offres touristiques est « auto suffisants », sans coproduction avec les autres attractivités touristique au territoire. La seule mention d’attractivité touristique dehors l’auberge est que randonnée. En effet, il y a beaucoup des attractivités autour de l’auberge, qui peuvent proposer beaucoup des possibilités touristiques ainsi ses clients peuvent avoir des expériences plus riches et plus complètes.
En conclusion, l’auberge 500 diable manque un approfondissement d’approche expérientielle, surtout avec une conscience de donner sens aux clients et de les impliquer dans le contexte expérientiel et culturel proposé. Ce n’est pas un problème d’avoir les ressources touristiques, mais de les mettre en scène et de les valoriser.
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