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山地旅游的价值思考(法)

山地旅游的价值思考(法)

作者: 瞎侃的小爷VRua | 来源:发表于2020-03-31 17:28 被阅读0次

    (写于2017年,在萨瓦大学与格勒大学接触山地旅游3年有思有感)

    La montagne, un espace de vivre.

    La montagne comme un typede destination touristique, ontologiquement, est un contexte ou un espace de vivre voire de survivre. En tant que telle espace, les activités montagnardes commencent par la relation entre la nature montagnard et l’humain, comme les premiers habitants qui cherchent à vivre dans ce contexte en termes de seloger, se nourrir, se chauffer et se déplacer. Ce période-là, la valeur montagnarde se base sur son offre de ressources de vivre.

    L’histoire s’évolue, les habitants montagnards accumulent les connaissances de leur montagne vécue et les compétence (ou savoir-faire) de vivre dans ce contexte, en tant que la culture montagnarde comme un typologie de marquage culturel. De ce point de vue,tout d’abord, ces compétences de vivre (les connaissances et les savoir-faire) sont évidemment différents que ceux des autres contextes (campagnard, littoral et urbain); ensuite ces humains vivants en montagnes différentes possèdent des connaissances et des compétences différentes entre les uns et les autres; enfin, la montagne est considérée comme un espace habituel (d’habitation) à l’option.

    La montagne, une destination touristique en ailleurs

    En suivant cette histoire, les activités en montagne s’enrichissent et sa culture devient de plus en plus complexe. Par ailleurs, à force de ce que le contexte montagnard est appris de plus en plus profondément par la société humaine, les étrangers des autres contextes et même des autres types montagnards viennent à cette destination par des motivations multiple : visite, migration, santé,travail……si bien que le voyage aux montagnes, l’origine du tourisme montagnard s’apparaît.

    Ici, d’un point de vue touristique, le rapport d’ici-ailleurs et ses formes dérivés et alternatives doit être discuté :

    Premièrement, le rapport classique illustre que les touristes voyagent aux destinations en cherchant l’exotisme qui est différent avec leur vie quotidienne et leur environnement habituel. Ce rapport classique se lie avec la notion deTourist Gaze(Urry, 1990) qui souligne la constitution du tourisme en termes de l’extraordinaire de la destination par rapport à l’ordinaire de la vie quotidienne.

    Deuxièmement, les formes évoluées du rapport concernent, d’un côté, les phénomènes que les touristes vivent « l’ailleurs » à « l’ici » : le tourisme, en forme d’exotisme, se localise chez soi ou en proximité de chez soi. Cette évolution sociale se présente, dans le développement du post-moderne, par le tourisme chez soi (les vacances chez soi), le tourisme de proximité, etc.(Bourdeau, 2013). 

    Troisièmement, les forme s’évoluées du rapport consistent, d’autre côté, les phénomènes que les touristes cherchent à vivent « l’ici » à « l’ailleurs » : les activités et les éléments de la vie quotidienne sont pratiqués dans la destination touristique, soit sans conscience, soit en conscience. En académie,les chercheurs analysent ce rapport évolué en particulier dans le cas sans conscience. Par exemple, Edensor (2007) argue que le tourisme en effet conclut plein des« mundane activities » qui ne peuvent pas séparer avec la vie quotidienne avec les pratiques et les habitudes sans réflexion. Larsen (2008) illustre que les touristes pratiquent leur « everyday life » et la sociabilité habituelle quand ils sont en voyage. Or, les recherches sur le cas d’activités quotidiennes en conscience sont peu exploitées. Cependant, les nouvelles tendances touristiques montrent clairement ce phénomène. L’AirBnB,par exemple, les touristes le choisissent en visant à cuisiner leur type de nourriture. L’auteur a rencontré un groupe des touristes chinois qui voyagentavec une valise entière de viande cuisiné en Europe. Un autre cas est que les touristes chinois aimeraient voyagent avec les jeux quotidiens comme Mah-Jong.

    Pour la montagne, lerapport d’ici-ailleurs et ses formes dérivées se présentent en allongeantl’histoire montagnarde. Elle accueille des générations d’habitants en tant queles cultures étrangères. Sa valeur s’évolue de contexte de vivre ou de survivreà un espace d’échange.

    La montagne, un lifestyle touristique en pratique

    Etant donné que le rapport d’ici-ailleurs s’évaluent, les binômes opposés du tourisme, par exemple, « ici-ailleurs »,« visiter-habiter », « travail-vacances », …se fondent. C’est plus difficile à définir l’espace (ainsi que la destination) et le temps(ainsi que le temps loisir) du tourisme.

    Du ce point de vue, la relation entre l’offre et la demande du tourisme, ou de la montagne, peut changer aussi : Dans le demain du tourisme, l’offre montagnarde n’est pas seulement de présenter le mieux ses attractivités touristiques exotique aux touristes en tant que la demande, ou de satisfaire le mieux la demande, mais aussi de partager et de développer la manière de vivre ensemble,au sens de survivre dans un contexte (touristique) typologique, comme les touristes peuvent chercher à habiter, à travailler, à…,enfin, peut-être, que nous pouvons imaginer :

    Une illustration peut être également effectuée pour les habitants locaux :

    Dans ce tableau d’habitants locaux, nous pouvons le lier au modèle d’aménagement des réserves naturelles qui inclut trois régions territoriales : la région strictement protégée (qui est pour les recherches et fermé au public), la région de passage (qui est thématisée en éducation et en visite limité) et la région commerciale (qui propose les services de visites touristiques).

    Dans le cas de la montagne en tant que le tourisme, les habitants s’activent aux régions :

    Finalement, la montagne représente une valeur delifestyle s’intégrant à la société humaine, qui offre un lieu où les relations entrehumain se mobilisent. Ces relations entre humaines peuvent être interprétées par la notion de marquage, le marquage culturel ainsi que le marquage expérientiel.

    La montagne, une valeur forte de marquage

    Le marquage culturel concerne deux éléments principaux : la notion de marque en termes de marketing (Jean Corneloup, 2013) et la notion de culture en termes de valeur localisée (Jean Corneloup, Philippe Bourdeau, Pascal Mao, 2004). La première notion illustre une puissance de signeet de symbole d’un produit ainsi qu’un territoire avec des fonctions social. Une marque sert à proposer une référence de créer ambiance culturelle et demettre en scène les valeurs sociales pour les consommateurs des produits ainsique les espaces culturels. La notion de culture en termes de valeur localisée est un ancrage d’histoire et de mémoire du lieu, qui offre une valeur fondamentale d’expériences récréatives qui vive les populations intérieures etextérieures dans le territoire. Du coup, le marquage culturel est une approchede mise en valeur des éléments des cultures ancré dans l’histoire et la mémoire d’un territoire, en les traduisant à une forme de capital culturel local qui se présente comme une ressource productrice de valeur ajoutée » et « un vecteur de territorialisation » (Jean Corneloup, 2004).

    Le marquage culturel est pratiqué, tout d’abord, par système culturel localisé « au sein du quelse façonne une représentation particulière de cet espace pratique » et ainsi produit « un ancrage territorial entre acteurs et publics qui qualifie et oriente le façonnage symbolique du lieu. »

    En académie, nous trouvons aussi le mot « marquage » dans l’approche expérientielle : Selon Caru et Cova (2006), à la suite des recherches d’immersion d’expérience (Firat,1998, 2001; Arnould, 2002 ; Schmitt,1999,etc.) et de construction d’expérience (Fischer, 1983, 1992; Filser, 2002),Aubert-Gamet (1996) a défini 3 types de « pratiques d’appropriation » : la nidification, qui explicite à une créationd’un chez-soi (Fischer, 1983) ; l’exploitation, qui « permet de recevoir les informations et ainsi d’amorcer l’interprétation de lieu » (Fischer, 1981); le marquage, qui « intègre son inscription personnelle dans cet espace » (Fischer, 1983).

    Du point de ce vue, le marquage au sens d’expérientiel est une pratique de consommer l’espace, entourisme est de consommer la destination, en inscrivant son personnage dans cetespace ou dans cette destination. Du coup, ce marquage peut être considérécomme une finalité de « consommer » les ressources du territoire(espace/destination) qui peut lier fortement le marquage culturel dans ce lieu.

    Autrement dit, aprèsavoir approprié le contexte et les ressources de marquage culturel, les consommateurs /touristes /pratiquants marquent leur propre valeur, qui se présente de leur propre regard sur le lieu, au territoire consommé. Dans ce cas, une fois que le marquage extérieur s’accumule en tant qu’une culturel extérieure et nouvelle, cette culturel peut être intégré et ancré dans l’histoire et la mémoire du territoire et se présenter comme un nouveau composant pour le marquage culturel intérieure du territoire.

    En conclusion, le marquage expérientiel et le marquage culturel peut renouveler et élargir le modèle de consommation territoriale en considérant les cultures hétérogènes et leur évolution dans le territoire. Cette relation propose également la valeur de la montagne : une représentation symbolique en histoire que l’humain approprie, survit (mieux) et finalement se marquer dans un contexte complexe.

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